L’ostéopathie tissulaire

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L’ostéopathie tissulaire

Il existe de multiples courants dans l’ostéopathie : l’ostéopathie structurelle, myotensive, crânio-sacrées, fonctionnelle…

Pour ma part, je pratique l’ostéopathie dite « TISSULAIRE ». Elle a été développée par Pierre Tricot, ostéopathe à Granville. C’est une ostéopathie de la communication, de l’information. Une ostéopathie de la vie et dans la vie, que Pierre Tricot m’a transmise au cours de stages qu’il organise et que j’ai le plaisir de pratiquer tous les jours au cabinet.

Le principe est le suivant : pour pouvoir vivre, l’être humain dans son entier, des plus petite des cellules au plus complexe des organes échangent des informations. Tant que le flux d’informations est gérable par les structures corporelles, nous sommes en bonne santé.

Mais, si trop d’informations arrivent sur une structure en trop peu de temps, comme par exemple, lors d’un choc physique (chute, accident de la voie publique…) mais aussi émotionnel (deuil, séparation, stress de changement de vie) certaines parties du corps se referment sur elle-même pour se protéger de ce trop d’informations et bloquent toute communication avec l’extérieur. Il y a alors création de ce que l’on appelle une zone de rétention. Ces zones se coupent du corps. Elles vivent sans lui et le corps vit sans elles.

Le système corporel alors va s’organiser autour de ces zones en mauvaise communication et créer des compensations et des adaptations pour pouvoir continuer à vivre. Cependant, il arrive un moment, ou suite à une fatigue, un stress, un choc, le corps ne peut plus s’adapter et « craque » créant un symptôme douloureux (sciatique, torticolis, problèmes digestifs, trouble du sommeil…etc…). Ces parties du corps en rétention vont désorganiser l’ensemble.

En ostéopathie tissulaire, nous essayons de libérer ces zones fermées sur elles-mêmes afin qu’une communication plus harmonieuse soit rétablie dans le corps et que le patient retrouve un meilleur état de santé. C’est ainsi que nous stimulons les mécanismes d’autoguérison.